Le développement durable prend en compte l’environnement, l’économie et le lien social. Avec l’échangeur de Montmarault, APRR s’inscrit au cœur de cette démarche.
Préserver les terres agricoles
L’échangeur a été dessiné pour limiter les emprises foncières. Les terres des agriculteurs locaux sont ainsi impactées le moins possible par l’aménagement. Sur la N79, la plateforme à réaliser pour doubler les voies est déjà dans le domaine de l’État et ne nécessite l’acquisition de nouveaux terrains. Les nouvelles bretelles de l’A71 viennent se glisser au plus près de l’autoroute.
Réutiliser
Les matériaux nécessaires pour les terrassements et les remblais sont pris au maximum sur place : ceux enlevés sont réutilisés pour les aménagements en ayant besoin. L’impact du chantier et les circulations de camion sont donc limités pour éviter les nuisances (bruit, qualité de l’air, consommation d’énergie…).

Éviter les friches et les installations obsolètes
Le péage de Montmarault est conservé, ainsi que les bretelles d’accès actuelles. Sur la N79, une barrière de péage provisoire est prévue pour éviter de passer par le péage de Montmarault, dans l’attente de la mise à 2 x 2 voies autoroutières de la RCEA jusqu’à Digoin.
La bretelle de liaison entre la N79 et l’A71 dans le sens Paris-Clermont passe sous l’autoroute. L’intégration paysagère de l’infrastructure est ainsi complète et l’impact visuel limité.