cadre de vie

Préserver la ressource en eau

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L’aménagement de l’échangeur de Montmarault touche deux bassins versants : celui de la Sioule à l’est et du Cher à l’ouest. La préservation de la ressource en eau est très importante en local, notamment pour les agriculteurs, mais aussi à plus grande échelle. APRR agit sur l’ensemble des problématiques liées à l’eau et améliore l’ensemble des circulations hydrauliques et des écoulements naturels. Avec le nouvel échangeur de Montmarault, le trafic routier n’est pas le seul à gagner en fluidité et en sécurité !

Eaux de surface : des écoulements plus nombreux et plus naturels

Pour les eaux superficielles, la réalisation de la 2 x 2 voies de la RCEA compte pas moins de 7 nouveaux ouvrages hydrauliques souterrains pour le franchissement de la chaussée. Celui existant est rénové et modifié également pour assurer le rétablissement des écoulements naturels.

Pour le ruisseau du Suchet sous la N79 et la D145, un cadre en béton vient remplacer le busage actuel et permettre un meilleur fonctionnement hydraulique et écologique du cours d’eau.

Eaux de ruissellement : plus de sécurité et de contrôle

Pour les eaux de ruissellement provenant de la chaussée, APRR réalise des nouveaux bassins de rétention (pour RCEA et pour les bretelles sur A71). Trois bassins déjà existants seront entièrement réaménagés (deux sur l’A71 et un sur la RCEA). Ils seront également des outils utiles et efficaces en cas de pollutions accidentelles et un écrêtement très important des débits en cas de crues.

Puits, drains et réseau d’eau potable

L’aménagement et les travaux nécessaires n’ont pas d’impact sur les écoulements souterrains alimentant les puits existants. Pour assurer une étude et un suivi détaillés, un inventaire initial des puits sera réalisé par APRR. Les paramètres quantitatifs et de qualité des eaux des puits seront suivis avec l’accord des propriétaires pendant toute la durée du chantier.

Dans le cadre du projet, tous les drains agricoles interceptés par la zone de travaux seront rétablis. Il en est de même pour le réseau d’eau potable, géré par le SIVOM.

Plus de zones humides

Deux mares sont répertoriées sur la zone du projet. Elles sont recréées et des mesures de compensation sont prises pour maintenir les fonctionnalités de ces milieux naturels.